"Il faudra que l'humanité crée une langue internationale; sa grammaire sera si simple qu'on pourra l'apprendre en quelques heures; il n'y aura qu'une seule déclinaison et une seule conjugaison; il n'y aura point d'exceptions ni irrégularités et les mots dériveront les uns des autres au moyen d'affixes. "
Lettre de René DESCARTES au Père Mersenne, 20 novembre 1629. )
LES PRONOMS Y ET EN
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LA VOIX PASSIVE
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LES PRONOMS RELATIFS COMPOSÉS
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LA NÉGATION
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IMPARFAIT - PASSÉ COMPOSÉ
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LE PASSE COMPOSÉ
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L´IMPARFAIT
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LES VERBES PRONOMINAUX
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LA PLACE DES PRONOMS
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LES VERBES EN IR OIR ET RE
L´IMPÉRATIF
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LE GÉRONDIF
Le chat, Geluck
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Si... L´arbre perché de Jean-Luc Moreau
Si la sardine avait des ailes,
Si Gaston s'appelait Gisèle,
Si l'on pleurait lorsqu'on rit,
Si le pape habitait Paris,
Si l'on mourait avant de naître,
Si la porte était la fenêtre
Si l'agneau dévorait le loup,
Si les Normands parlaient Zoulou,
Si la mer Noire était la Manche,
Et la mer Rouge la mer Blanche
Si le monde était à l'envers,
Je marcherais les pieds en l'air,
Le jour je garderais la chambre,
J'irais à la plage en décembre,
Deux et un ne feraient plus trois…
Quel ennui ce monde à l'endroit !
Si Gaston s'appelait Gisèle,
Si l'on pleurait lorsqu'on rit,
Si le pape habitait Paris,
Si l'on mourait avant de naître,
Si la porte était la fenêtre
Si l'agneau dévorait le loup,
Si les Normands parlaient Zoulou,
Si la mer Noire était la Manche,
Et la mer Rouge la mer Blanche
Si le monde était à l'envers,
Je marcherais les pieds en l'air,
Le jour je garderais la chambre,
J'irais à la plage en décembre,
Deux et un ne feraient plus trois…
Quel ennui ce monde à l'endroit !
Le pronom relatif QUI avec Prévert, Chanson de l'oiseleur
L'oiseau qui vole si doucement
L'oiseau rouge et tiède comme le sang
L'oiseau si tendre l'oiseau moqueur
L'oiseau qui soudain prend peur
L'oiseau qui soudain se cogne
L'oiseau qui soudain voudrait s'enfuir
L'oiseau seul et affolé
L'oiseau qui voudrait vivre
L'oiseau qui voudrait chanter
L'oiseau qui voudrait crier
L'oiseau rouge et tiède comme le sang
L'oiseau qui vole si doucement
C'est ton cœur jolie enfant
Ton cœur qui bat de l'aile si tristement
Contre ton sein si dur si blanc.
L'oiseau rouge et tiède comme le sang
L'oiseau si tendre l'oiseau moqueur
L'oiseau qui soudain prend peur
L'oiseau qui soudain se cogne
L'oiseau qui soudain voudrait s'enfuir
L'oiseau seul et affolé
L'oiseau qui voudrait vivre
L'oiseau qui voudrait chanter
L'oiseau qui voudrait crier
L'oiseau rouge et tiède comme le sang
L'oiseau qui vole si doucement
C'est ton cœur jolie enfant
Ton cœur qui bat de l'aile si tristement
Contre ton sein si dur si blanc.
Les verbes qui se terminent en -er
Ponctuations
- Ce n'est pas pour me vanter, Disait la virgule, Mais, sans mon jeu de pendule, Les mots, tels des somnambules, Ne feraient que se heurter. - C'est possible, dit le point. Mais je règne, moi, Et les grandes majuscules Se moquent toutes de toi Et de ta queue minuscule. - Ne soyez pas ridicules, Dit le point virgule, On vous voit moins que la trace De fourmis sur une glace. Cessez vos conciliabules Ou, tous deux, je vous remplace! Maurice Carême |
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LE FUTUR
Un jour on démolira ces beaux immeubles si modernes on en cassera les carreaux de plexiglas ou d'ultravitre on démontera les fourneaux construits à polytechnique on sectionnera les antennes collectives de télévision on dévissera les ascenseurs on anéantira les vide-ordures on broiera les chauffoses on pulvérisera les frigidons quand ces immeubles vieilliront du poids infini de la tristesse des choses. Grand Standigne de Raymond Queneau dans Courir les rues |
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Demain, des l´aube. Victor Hugo |
Le futur en chanson (fiches à suivre)
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LE COMPARATIF
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